Architecture, l'esprit du lieu

Now le reflet du monde du travail d’aujourd’hui

Par Nat Lecuppre, le 21 août 2024.
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Now Coworking Marseille. DR

Now Coworking est avant tout un état d’esprit pour s’approprier et s’épanouir dans des lieux de travail d’exception.

Génèse d’une entreprise montante.

En 2015, Pascal Givon et Edouard Laubiès ont fondé leur entreprise indépendante à Rouen. Elle a pour objectif de concevoir et d’exploiter des espaces de coworking. Ces derniers ont la spécificité d’être atypiques, premium et de se situer dans des centres-villes. Le fil rouge des concepts des lieux est de pouvoir offrir aux usagers un environnement qui favorise le travail collaboratif. Une attention particulière est portée aux interactions entre la communauté de coworkers.

Une forte croissance.

Now, c’est aujourd’hui quinze sites en France (Rouen, Lyon, Lille, Marseille, Bordeaux, Nantes, Saint-Denis, La Défense, Bayonne, Courbevoie, La Garenne-Colombes…) mais aussi quatre ouvertures en 2024 avec Toulouse, Strasbourg, Lille et Metz.

La philosophie Now.

Now, c’est un mode de vie dans le travail. Chez Now, on travaille seul et ensemble. On collabore, on coproduit, on s’entraide, on échange, et surtout on partage son expérience. Cette philosophie renforce un environnement sécurisant qui accentue la créativité. Les coworkers s’entrouvent des portes. Now est le bureau all-in. Des outils sont proposés pour mettre les coworkers en relation. On trouve une application sociale interne avec un trombinoscope national et des forums de discussion. Cette solution permet de booster les réseaux et les recherches. Les équipes de Now créent du lien direct en organisant des événements quotidiens (petits déjeuners, conférences, corners d’experts « c’est moi qui l’ai fait »… Le bien-être est mis en exergue avec Now Care, des événements autour de thématiques (relaxation, food, sport, etc.).

Un cadre à l’image de la communauté.

Les espaces sont hybrides. On trouve 50 % de bureaux privés (de 1 à 40 postes) et 50 % d’espaces partagés avec des salles de réunion, des tisaneries, des alcôves, des phone boxes, des salles de sport, bars, terrasses…

L’aménagement est premium. Il reprend les codes de l’hôtellerie. Une multitude de services sont proposés (connexion internet fibrée, accès à plus de 4 000 titres de presse gratuitement, du snacking…).

Les plus beaux espaces sont réservés à la communauté de « Noworkers ». Les usagers se retrouvent dans un écrin avec des espaces de grande hauteur sous plafond, des verrières, des vues imprenables sur la ville…

Le mobilier sélectionné est ergonomique et contemporain. Il contribue à la concentration et à la détente. Depuis le début du développement de Now, Ege carpets accompagne les équipes et propose des designs spécifiques selon les concepts et ambiances personnalisés de chacun des sites Now. Les moquettes et les tapis au design durable renforcent les ambiances chaleureuses et innovantes.

Les sites sont ouverts à tous les professionnels qui souhaitent travailler dans un lieu de qualité qui leur correspond, accessibles 24h/24 et 7j/7.

Pour les cofondateurs de Now, les lieux permettent l’émergence de nouvelles idées et de nouveaux projets. Now est plus qu’un lieu de travail, c’est un véritable lieu de vie !

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    Now Rouen Le 105

    105 bis, allée François-Mitterrand

    76100 Rouen

    Tél. : +33 (0)2 79 16 01 26

    www.now-coworking.com

    Autres sites sur

    www.now-coworking.com

    ege carpets

    14, boulevard de la Madeleine

    75008 Paris

    Tél. : +33 (0)1 40 60 44 44

    france@egecarpets.com

    www.egecarpets.fr

    Numéro en cours

    Nº63

    Spécial Santé, Bien-être, Bien-vivre

    Couverture du NDA Nº63

    Novembre — Décembre 2025 — Janvier 2026

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    Architecture un lieu

    Café Nuances : le café sous toutes ses formes et… nuances

    Par Nat Lecuppre, le 19 juin 2023
    Après sa première boutique, rue Daniel Casanova dans le premier arrondissement, le Café Nuances inaugure sa seconde adresse à Saint-Germain-des-Prés. Le concept de l’architecture intérieure est signé par le collectif pluridisciplinaire Uchronia. Lieu dédié aux aficionados de caféine Les architectes designers ont imaginé un lieu dynamique, festif, aux allures de boule à facette. Le coffee-shop est ouvert sur la rue afin de favoriser un take-away. On peut y savourer le café sous diverses formes (expresso, latte, flat white…) mais aussi avec des recettes originales (à la rose, au miel de châtaignier…). Des pâtisseries aux influences américano-nippones sont proposées (cookies matcha-chocolat blanc, banana bread ou cake au citron et pavot). Dans l’espace boutique, on peut acheter du café mais aussi des mugs, des goodies Café Nuances, comme des briquets au logo de la maison. Six types de cafés sont présentés, dont la torréfaction se fait à Paris pour une meilleure qualité des arômes. Une signature architecturale Comme toujours, on retrouve les ambiances adorées par Uchronia. À savoir un mobilier coloré et une scénographie singulière voire psychédélique. Les murs sont revêtus de mosaïque miroir et de laque couleur mandarine où se reflète le plafond aux couleurs de l’arc-en-ciel. Une boule disco rythme l’espace en faisant rayonner la lumière. Les architectes ont joué avec la configuration des lieux, des matières et des coloris. L’architecte d’intérieur Julien Sebban d’Uchronia précise que la mosaïque en dégradé à l’entrée fait écho aux murs, tout en reflétant l’histoire du quartier. Les couleurs saturées, le comptoir en acier inoxydable et le plafond rayé propulsent les visiteurs de la rue dans l’espace grâce à sa perspective exagérée. Uchronia réinvente les lieux avec de nouveaux codes d’architecture intérieure et Café Nuances sublime l’art du café. À visiter sans plus attendre pour déguster une des recettes originales.
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    Architecture remarquable

    La Fondation Maeght se dote d’une extension sensible

    Par Sipane Hoh, le 11 juin 2025
    C’est l’écrin de l’une des plus grandes collections d’art moderne et contemporain du monde, nichée dans un environnement idyllique, la Fondation Maeght, qui fête son soixantième anniversaire cette année et vient de se doter d’une extension signée de l’architecte Silvio d’Ascia. En 1964, Marguerite et Aimé Maeght, sous l’impulsion de leurs amis Juan Miró, Alberto Giacometti, Georges Braque et Fernand Léger, fondent à Saint-Paul-de-Vence la première fondation privée dédiée à l’art contemporain en France, dont la réalisation a été confiée à l’architecte catalan Josep Lluis Sert. Le concept de la Fondation Maeght est une aventure humaine qui a donné naissance à une réussite architecturale où se croisent allégrement les formes, les matières ainsi que les couleurs dans un ensemble d’un parfait équilibre teinté d’une grande justesse. Aujourd’hui l’édifice, jadis inauguré par André Malraux, est classé « Architecture remarquable du XXe siècle », il continue à attirer les visiteurs de divers horizons, qui s’y rendent pour y découvrir des collections ainsi que des expositions. Cet incroyable lieu de créativité a été l’objet d’une subtile extension, indispensable pour montrer davantage d’œuvres plébiscitées par le grand public et les amateurs de l’art. Cependant, pour différentes raisons, les travaux ont mis longtemps à se concrétiser. « Les premiers croquis ont été faits en 2010, les consultations informelles datent d’il y a quinze ans », raconte Silvio d’Ascia, pour qui « le projet est iconique et possède un fort caractère, très apprécié par tous ». C’est donc pour la première fois de son histoire que l’édifice qui a vu défiler les plus grands artistes comme Kandinsky, Matisse, de Staël, Giacometti, Miró, Braque, Dubuffet, Chagall, Ubac, agrandit ses surfaces d’expositions pour contenir d’autres collections. Un pari relevé avec brio par Silvio d’Ascia, dont la proposition tranchait, dès le départ, avec celles des autres candidats. L’idée étant l’élaboration de quatre salles supplémentaires qui matérialisent l’avenir de ce lieu singulier conçu pour et avec les artistes. Proposer une architecture invisible n’est pas le fort de tous les architectes, cela demande un grand respect pour l’existant et, à l’inverse de ce que nous pouvons penser, une dextérité et un savoir-faire exceptionnels pour mener à bien ce type de projet. Silvio d’Ascia y est arrivé, non pas seul mais entouré d’artisans, d’entreprises compétentes et d’une équipe qui lui a donné de l’élan. Convaincu qu’à l’instar de sa ville natale, Naples, où la superposition de plusieurs époques ne peut être qu’une forme de richesse, l’homme de l’art souhaite révéler la beauté du lieu auquel il voue une grande considération. C’est donc avec beaucoup de décence que l’architecte entame l’extension de ce lieu magique entouré d’une végétation abondante qui fait rayonner l’art contemporain tant en France qu’à l’international. Malgré la simplicité du geste, les travaux sont titanesques. Il aura fallu creuser 4 000 m3 sous l’existant, reprendre en sous-œuvre les fondations périphériques du bâtiment d’origine, pour pouvoir y glisser les nouveaux volumes avec une infinie précaution et surtout sans causer de préjudice ni altérer ce qui était déjà là. Habitué à réaliser des gares et construire des entités entières en souterrain, le Napolitain réussit ce prodige : créer une architecture invisible qui met
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    Architecture, l'esprit du lieu

    Quand l’architecture est Bonne, Bonne, Bonne…

    Par Lionel Blaisse, le 25 août 2025
    Depuis son installation à Château-Thierry, Thierry Bonne promeut dans l’Aisne une architecture bioclimatique qui a su séduire plusieurs producteurs de champagne biodynamique.   Aux confins de l’Aisne et en limite de la Seine-et-Marne, les vignobles du petit village de Crouttes-sur-Marne (à peine 600 habitants) bénéficient de l’appellation Champagne. Deux de ses exploitations viticoles ont fait appel à l’architecte pour adapter leurs installations au process de vinification gravitaire et au développement de l’œnotourisme. Viticulteurs (bio)dynamiques. Depuis 2009, Jérôme et Charlotte Bourgeois produisent les champagnes Bourgeois-Diaz sans pesticides et les ont passés en biodynamie en 2014. « Le vin ce n’est pas de la chimie mais de l’alchimie. Non seulement nous les soignons, mais en plus nous les aimons. Au fil du temps, ils ont retrouvé leur nature essentielle. Nous laissons le vin s’exprimer à son propre rythme. » Vendangés à la main, les raisins sont pressés par cépage et par parcelle dans un pressoir traditionnel Coquard où la retrousse se fait encore à la fourche. Les vins sont alors élevés dans des fûts, demi-muids, foudres et cuves en bois (25 %), en cuves inox (60 %), en œufs en béton, ou en jarres en grès céramique, voire en amphores. Le temps étant venu de s’agrandir, un nouveau pressoir s’est substitué au jardin de peu d’intérêt de la maison, juste au-dessus de la cuverie existante, permettant désormais un fonctionnement gravitaire sans pompe de relevage. La halle ainsi projetée autorisait la création d’une salle de présentation et de dégustation destinée à accueillir le nombre croissant d’œnotouristes. Pour mettre en œuvre leur chantier, le couple de propriétaires contracte avec Thierry Bonne, qui a livré dans leur commune, en 2019, un programme similaire pour leur confrère des champagnes Courtois, en partie réalisé en pisé, obtenu à partir des terres du vignoble ! Architecture inspirée. La nécessité de limiter les points porteurs a incité le concepteur à proposer une charpente tout en peuplier reposant seulement sur dix poteaux champignons moisés aux monumentaux chapiteaux plutôt inhabituels sous nos latitudes. Impossible de ne pas y percevoir une très créative et aérienne transcription de la charpenterie traditionnelle chinoise, où le dou et le gong s’assemblent par simples emboitements, sans clous ni colle. L’architecte nippon Kengo Kuma en est l’adepte contemporain le plus célèbre, à l’image du pont de son musée à Yusuhara. Particulièrement adaptée aux séismes, cette ancestrale technologie autorise de généreux porte-à-faux de toiture. À Crouttes-sur-Marne, il est mis à profit pour développer partiellement la salle d’œnotourisme en cantilever au-dessus de la cave, mais sa conception pyramidale symbolise à merveille le principe de décantation du fameux breuvage. Après son diplôme d’architecte (DESA) et des études sur la géométrie fractale à la Sorbonne, Thierry Bonne réalise son service civil à Djibouti, où il se familiarise avec l’architecture bioclimatique vernaculaire. Il l’expérimente ensuite en Lybie avant de tenter sa chance en Irak et en… Chine. Il se passionne également pour les systèmes constructifs, tout particulièrement aux structures champignons qui estampillent dorénavant ses réalisations résolument contemporaines telles les futures orangerie du Château de Monmort-Lucy et extension du domaine viticole du Château de Fumal en Belgique. Quand l’architecture

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