Architecture un lieu

Rossignol : Tout Schuss

Par Nat Lecuppre, le 24 avril 2023.
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Dans sa stratégie de développement, le groupe Rossignol a inauguré son nouveau concept de magasins multimarques dédiés aux sports de montagne appelé Start Gate.

Start Gate

Les deux ouvertures à Bex en Suisse et à Bromont au Canada ont dévoilé le nouveau concept de boutiques multiactivités et multisaisons.

Les amateurs de sports de montagne peuvent désormais y découvrir des zones de shopping par thème. Ils trouveront des produits de toutes les marques du groupe mais également des services techniques spécialisés et personnalisés.

Toujours plus de confort et de performance

Dans les nouveaux magasins, on peut ­s’habiller de la tête aux pieds avec les produits des marques du groupe provenant de ses quatre usines en Europe. Un Ski Lab comble l’offre de services proposés avec l’entretien et la réparation des skis. Un Boot Lab, dédié au boot fitting permet avec une numérisation 3D de trouver chaussure à son pied. Après une analyse de votre prise d’empreinte et la répartition des charges, vos chaussures sont adaptées à votre morphologie et dotées des techniques avancées : celles que vous achèterez seront uniques.

Pour les cyclistes, un Bike Lab est mis à disposition. L’atelier répare, entretient et propose divers services comme l’ajustement sur-mesure. Les vélos électriques ont également leur place.

Les clients peuvent prendre rendez-vous avec l’un des starters Rossignol qui sont des professionnels qualifiés et pratiquants passionnés qui ont pour vocation de guider, de conseiller pour le choix des pratiques et du meilleur équipement en fonction du niveau.

Start Gate laisse entrevoir un monde de services de plus en plus en développement dans le secteur du sport et des loisirs.

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    Groupe Rossignol

    98, rue Louis Barran
    38430 Saint-Jean-de-Moirans
    Tél. : +33 (0)4 38 03 80 38
    www.rossignol.com

    Retrouvez cet article dans le nda numéro 52
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    De nouvelles sociétés d’espaces de coworking émergent dans le paysage urbain. L’Est parisien n’est plus en reste avec le plan de développement du Grand Paris. La Défense n’est plus la seule destination. À Val de Fontenay vient de s’ouvrir un Work & Share de 1 300 m2. L’immeuble Joya, situé à Val de Fontenay, répond aux attentes contemporaines pour les nouveaux usages de travail. Il offre un cadre de travail confortable, stimulant et durable, avec des certifications environnementales (BREEAM Excellent, HQE Excellent, Ready to Osmoz) garantissant une haute performance énergétique et une qualité d’usage. Joya dispose des équipements modernes tels qu’une salle de sport, un studio d’enregistrement, des bulles de bien-être, des terrasses, des restaurants et 4 000 m² d’espaces extérieurs, dont une terrasse panoramique. Ces services enrichissent le quotidien des professionnels. L’intégration de Work & Share dans l’immeuble permet aux entreprises de bénéficier d’espaces modulables, clé en main, adaptés aux nouveaux rythmes professionnels. Les espaces de travail à Val de Fontenay Le nouveau Work & Share est dédié aux entreprises de 2 à 150 collaborateurs. Les espaces sont pensés pour le bien-être des usagers et l’agilité. L’attention est portée à l’expérience utilisateur. Situé dans un immeuble premium, il dispose de bureaux privatifs (22) configurables de 2 à 24 postes, des salles de réunion entièrement modulables (4), des phone box (7) pour s’isoler, un grand bistrot convivial situé au cœur de l’espace, des alcôves de travail et zones de détente aménagées et un accès direct aux d’espaces extérieurs de l’immeuble et à la terrasse panoramique. L’immeuble Joya propose également des services complémentaires tels qu’une salle de sport, un studio d’enregistrement, des bulles de bien-être, des terrasses et des restaurants, créant ainsi un véritable lieu de vie. Work & Share propose une offre clé en main avec plusieurs formules flexibles et sans engagement. L’installation rapide est favorisée ainsi que l’adaptation aux besoins évolutifs des entreprises. Une équipe de coworking managers accompagne au quotidien et garantit le bon fonctionnement du site. Des bureaux accessibles Pour les utilisateurs ponctuels ou mobiles, on a l’offre Nomade avec un poste en open space (à partir de 160 € HT par mois). Pour les plus sédentaires, on a l’offre Dedicated qui propose un poste attitré dans un bureau partagé à 350 € HT par mois. Puis, pour les entreprises qui souhaitent un espace fermé et aménagé accueillant jusqu’à 150 postes, l’offre de bureaux privatifs est proposée à partir de 385 € HT par mois. Chacune des formules englobe la connexion wifi haut débit, un service de ménage régulier et l’accès à toutes les parties partagées (espaces détente, bistrot, phonebox, alcôves) ainsi que l’accès aux salles de réunion. Un objectif ambitieux de croissance Le plan de développement de Work & Share prévoit de doubler la surface de son réseau d’ici 2028. L’objectif est d’atteindre 60 000 m2 en Île-de-France. La route des bureaux nouvelle génération est toute tracée chez Work & Share.
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    Engagé·es en faveur de la création contemporaine, nous souhaitons, chez Atelier Martel, nous inscrire dans la tradition millénaire des liens entretenus entre art et architecture, et ainsi proposer un accès à l’art contemporain à tous·tes les usager·es de nos bâtiments. En effet, le lien entre art et architecture est ancré au cœur de l’histoire de l’art et des techniques. Il est également marqué par une évolution du statut de l’artiste, par une fluctuation de la porosité disciplinaire entre arts et architecture au fil du temps, et par un changement progressif des destinataires de ces œuvres conçues en contexte architectural. De la haute antiquité à l’époque contemporaine, l’histoire de l’art atteste de la constance des compagnonnages entre artistes et architectes : statues, bas-reliefs ou fresques des âges antiques, médiévaux ou renaissants, explorations modernistes et post-modernistes de l’œuvre totale ou des panneaux monumentaux, jusqu’aux développements multiformes de l’art d’aujourd’hui. Ces œuvres font corps avec les bâtiments, séquencent les parcours, jouent avec la structure, se fondent dans les modénatures, exploitent les volumes. Si le mouvement moderne des années 1940 réinterroge cette fusion des arts et la place de l’ornementation, les expérimentations artistiques urbaines récentes reviennent sur le devant de la scène et s’inscrivent pleinement dans les questionnements relatifs à la place de l’art dans ces nouvelles urbanités, et de son lien avec les habitant·es, destinataires de ces œuvres. Au cours de cette histoire occidentale des relations entre art et architecture, les agencements et conventions qui régissent les relations entre artistes et architectes ont contribué à modifier la place des destinataires de ces œuvres. Après « l’art pour les Dieux » avec des œuvres commandées par et pour des dévot·es et institutions religieuses, et après « l’art pour les Princes » qui voit la commande d’œuvres par et pour des connaisseur·euses et des puissant·es, on assiste à l’avènement de « l’art pour le marché » qui réinterroge les destinataires des œuvres mais continue de se placer du côté de certaines élites, notamment économiques (Gilles Lipovetsky et Jean Serroy). ↑HABITER ET SOIGNER À DOMMARTIN-LES-TOUL L’artiste Mayanna von Ledebur est intervenue pour la maison d’accueil spécialisé (pour épileptiques) de Dommartin-lès-Toul (2015) pour en « adoucir » les parois de béton par une matrice de coffrage – libre interprétation des inscriptions de stèles mésopotamiennes, première mention de l’épilepsie dans l’histoire écrite – et tisser une longue fresque en tapisserie de laine découpée en panneaux concourant à la signalétique et à amortir les chocs éventuels des patients. Dès lors, quelle place peut-on, en tant qu’agence d’architecture, donner aux habitant·es et usager·es des bâtiments au sein desquels sont installées les œuvres pérennes que nous concevons ? En défendant une idée de l’art pour tous·tes, qui se traduit par la volonté de permettre un accès à l’art contemporain au plus grand nombre, nous avons fait le choix de considérer les habitant·es comme les premier·es destinataires de ces œuvres nourries par notre architecture et qui la nourrissent en retour. Les œuvres que nous soutenons et réalisons ont ainsi pour raison première d’exister le lien qu’elles entretiennent avec celles et ceux qui parcourent au quotidien

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